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Catégorie : Corée du sud

Article du voyage en Corée du sud

Corée du Sud, le pays des 1001 baristas

Corée du Sud, le pays des 1001 baristas

En Corée du Sud, on a été surpris de voir autant de baristas partout dans tout le pays. Sur une rue plusieurs enseignes se côtoient, que ce se soient des boutiques indépendantes, des franchises nationales et internationales. Qu’on soit bien clairs, lorsque je parle de barista j’entends surtout la vente de café et de thé (pas de cocktail, rien d’autre). Plus qu’un phénomène éphémère, la consommation de ces boissons est un véritable mode de vie.

Les boissons se déclinent souvent en deux versions : chaude ou froide (la boisson froide étant la plus consommée étant donnée la chaleur qui y règne). La concurrence est assez forte, pas vraiment au niveau du prix mais plutôt au niveau du service client et surtout au niveau de la variété des saveurs proposées. On trouve initialement des saveurs comme Café Latte, Américano, Latte Caramel, Café Noisette etc. Puis des saveurs de thé plus fruitées ou exotiques comme Mangue, Coco, Myrtille , Pamplemousse, Fraise, etc. Mais aussi des saveurs complètement inattendues. On trouvera des thés glacés au goût Grenade ou encore Citrouille (sur la photo c’est Citrouille). (Erratum: Après réflexion, on pense que ce sont plutôt des jus de fruits que des thés.)

Les enseignes sont très bien implantées en ville. On sent qu’elles sont présentes depuis plusieurs années et que la consommation de ces boissons est devenue monnaie courante. Des petits supermarchés comme 7 Eleven ou GS25 (ce sont des franchises nationales, souvent ouverts H24) proposent des produits de tous les jours et un large choix de cafés froids.

Vous avez alors deux possibilités. Soit vous prenez un café en rayon avec pour certains des goûts très marqués comme le café au miel.

Soit vous optez pour la méthode sachet + gobelet de glaçon.

Pour la seconde méthode c’est simple, vous choisissez une saveur café ou thé parmi une sélection, les sachets sont remplis de la boisson.

Puis vous prenez un gobelet avec des glaçons dans le congélo (prenez de préférence le gobelet associée à la taille de la contenance du sachet), payez le tout ! Pour finir, vous n’avez qu’à verser le liquide dans le gobelet, prendre une paille et savourer !

Petite variante, il faut rajouter du café en plus du sachet saveur pour certaines marques.

Nous avons essayé plusieurs parfums pour le moment, on essaye d’en goûter un max. La saveur noisette est super bonne et reste notre préférée pour le moment.

Vu l’ampleur de la consommation de cette boisson, devinez quelle franchise internationale est omniprésente en Corée du Sud ? Oui Starbucks Coffee, y en a vraiment partout, parfois même deux dans la même rue et leurs bâtiments peuvent prendre deux étages !

Quid du goût ? Ben euh comment vous dire, les parfums fruités et exotiques ont de quoi faire frémir vos papilles (c’est un peu Ibiza dans votre bouche). Côté café, bon c’est pas le meilleur café qui soit, mais ça se boit. Je vous conseille si vous êtes vraiment amateur de café, de boire un café aromatisé comme Caramel (oui ça fait un peu cache-misère, mais c’est super bon !).

Si vous avez visité la Corée du Sud, est-ce-que vous avez aussi remarqué ceci ?

Pas d’argent, pas de voyage

Pas d’argent, pas de voyage

Le titre est assez chelou, je le conçois mais voilà, il nous est arrivé une petite mésaventure mais je vous rassure tout de suite on a trouvé la solution !!! Prenez place pendant que je vous raconte l’histoire, ça va être long.

Après avoir visité le palais de Gyeongbokgung nous avions décidé de nous rendre à la station de bus, afin de prendre des billets pour Andong. Arrivés au « Express Bus Terminal », on a débarqué dans un grand centre commercial qui est collé à la station de bus, vraiment sympa. On arrive au guichet, on se fait comprendre et vient le moment où l’hôtesse nous demande 33000 won. D’une grâce sans nom, Delphine dégaine sa Visa, la dame la prend et la fait glisser sur son appareil et demande de faire une signature sur la tablette : « Paiement Réfusé ». Bon, je tends d’un air soucieux ma Master Card en me disant que peut-être la Visa ne passe pas ici (d’où le fait qu’on ait demandé à notre banque deux cartes différentes au cas où). La dame refait l’opération, je fais ma plus belle signature et là : « Paiement refusé ». Bizarre ! Pourtant nous avons déjà réussi à payer un service avec notre carte. On décide alors de payer en liquide. Bon sur le moment on ne fait pas attention, je dois vous l’avouer, mais nous avions donné tout notre argent liquide.

On repart contents d’avoir nos deux billets pour Andong. Vient alors l’ascenseur émotionnel. On prévoit de revenir à notre chambre mais nous n’avons plus de liquide sur nous pour prendre le métro. Pas grave, il y a un ATM (un DAB mais pas celui de Pogba, un Distributeur Automatique de Billets). On arrive devant la machine et on est un peu rassurés car on peut choisir la langue anglaise. On suit toutes les étapes et là on voit 3 options et on ne comprend absolument rien à ce que la borne nous demande et pas de possibilité de traduire en français (le wifi trouvé sur le moment était payant, comme par hasard, et lorsque j’ai voulu tester avec mon appli Google Translate hors ligne, j’avais oublié de prendre la langue française dans le pack de langue, oui je suis un boulet).

Bon pas de panique, on va faire un test, mais le truc c’est qu’on voit des avertissements disant que si la carte n’est pas bonne y a un risque pour qu’elle soit avalée. Vous imaginez l’angoisse ? On fait un test pour retirer de l’argent « Opération refusée ». Bon on teste une autre carte « Opération refusée » Là j’ai commencé à détester ma banque (désolé M. Mallet si vous lisez l’article ^^).

Encore une fois pas de panique, on va aller dans une banque et demander à une personne de nous retirer les sous. Donc on cherche un peu désespérément, on demande de l’aide à une vendeuse, avec qui on eu du mal à se faire comprendre (pas tout les Coréens comprennent l’anglais), mais on remercie Google translate qui était sur son téléphone. Elle nous indique deux lieux, on prend celui qu’on semblait être le bon, mais on finit par ne trouver que des machines… Avec l’application Mapp Me, j’ai pu trouver certaines banques mais là aussi que des machines, et en voyant l’heure, on s’est rendu compte que c’était un peu tard (et jour férié en plus).

On décide de retenter le métro. A savoir, 12 km nous sépare de l’appartement au « Express Bus Terminal », je vous laisse imaginer la grandeur de cette ville. Les bornes de vente de tickets ne prenant que le liquide, que faire ? Nous avions tout prévu : les vaccins, l’argent mis de coté, l’équipement, l’itinéraire et on s’est sentis complètement démunis dans ce grand centre commercial où tout le monde faisait des achats avec le sourire.

On retente le retrait sur une machine un peu différente. Les options sont incompréhensibles et on nous parle de « charging your acompte » ? Dans le doute on annule encore. Mince, comment faire pour au moins revenir à notre chambre ? Bon on part, je pousse la porte du bureau d’informations et je leur dis clairement « We have a big problem ! ». Je leur explique la situation et là ils ont fait preuve d’une compréhension sans faille. Ils nous ont accompagnés jusqu’à la machine, on essaye avec eux mais là aussi ça ne marche pas. Très serviables, ils prennent nos noms pour les communiquer à leurs collègues de la station proche de notre chambre. On peut passer en douce les portiques de sortie de sécurité avec leur autorisation mais dès qu’on a les sous il faut revenir les payer (sympa le compromis).

On arrive à prendre le métro comme ils nous l’ont demandé et pendant le trajet on s’est vraiment sentis cons. On essayait de rire de la situation mais on était complètement dégoûtés, on a même pensé rentrer en France. Enfin bon avant, on allait essayer de contacter la banque en France.

On arrive à notre station de métro et je souhaite quand même réessayer de retirer des sous (qui ne tente rien n’a rien). On décide de faire d’autres options (Checking My Account) et tiens le mot « withdrawing » (retrait) apparaît enfin ! On teste un petit montant mais là aussi « Charging my account ». On a mis le temps avant de comprendre qu’il s’agissait des frais bancaires. Bon on teste un petit montant (au point où on en est on ne perd rien). Je refais la manipulation et j’arrive à retirer 10000 won (Ouffff) mais j’ai eu des frais de commission. Delphine teste avec sa Visa un plus grand montant aucun frais et ça marche. On part direct au point d’information régler notre dette.

On respire enfin, le voyage peut continuer. Mais alors est-ce-que le paiement par carte marche ? On arrive à notre auberge, on demande à régler nos deux nuits, la personne sort son terminal de paiement, Delphine paye avec sa carte et fait une signature… ça marche !

Sérieux, je ne comprends pas pourquoi le destin s’est dit : « Hooo les amoureux, vous êtes un peu trop in-love vous deux, on va vous faire chier 3 petites heures. » Ben tu sais quoi le destin, je t’emmerde !

 

Vous comprenez pourquoi après tout ça, une petite bière ça fait du bien ^^

Journal de séjour #3 – Quelques merveilles de Séoul

Journal de séjour #3 – Quelques merveilles de Séoul

Une nuit douce et paisible, ça fait du bien ! Réveil en douceur, il fait beau, on va y aller tranquillement. Nous nous préparons à sortir et à aller au centre ville. Il nous faudra prendre le métro parce qu’on est assez éloignés en fait. Il faudra toujours avoir des espèces sur soi car la billetterie électronique ne prend pas la carte. Autrement bon courage pour trouver un guichet… vive la modernité ! D’un autre côté, l’anglais est dispo sur les machines. C’est pas encore inné chez l’être humain.

Là encore, se repérer dans le métro est assez simple. La ligne est bien indiquée, les directions aussi. Si on a l’habitude du métro français, rien de sorcier. Je dirai même que si vous avez votre permis métro parisien, c’est dans la poche.

En centre-ville, les grattes-ciel se font plus haut. L’architecture est ultramoderne, proche de l’art contemporain des fois. Au milieu de tout ça on peut tomber sur un temple, un palais ou même une promenade le long d’une rivière.

 

Après quelques emplettes, on a pu voir le changement de la garde devant le palais Deoksugung que nous visiterons peut-être un autre jour. Les costumes sont bien plus variés qu’à Buckingham. On voit les différents grades défiler au rythme de quelques tambours dont un énorme sur pied, conques et clochettes.

En avançant vers le nord de la ville, nous remarquons de plus en plus de Coréens habillés de façon traditionnelle. Nous apprendrons que c’était le jour anniversaire de Bouddha d’où le monde dans les rues, c’est un jour férié. On nous dira aussi que de temps en temps les jeunes filles s’habillent comme ça pour le fun. Après un petit-déjeuner tardif,  nous continuons notre route. Gaufre et café caramel glacé pour ceux que ça intéresse.

Les espaces s’agrandissent encore sur une longue avenue et la ville s’arrête soudain pour laisser apparaître une montagne. Un parc national est collé à l’agglomération. Entre les deux se trouve le palais Gyeongbokgung, l’un des édifices historiques incontournables de Séoul.

L’avenue qui y mène est décorée de plusieurs grandes statues dont une du roi Sejong. Ce monarque a beaucoup d’importance dans l’avancée de son pays. Ayant régné au XVe siècle il est à l’origine de l’alphabet coréen actuel, de certaines avancées dans le domaine de l’astronomie, militaire et musical. Bon ok, il y a un musée sous la statue (oui, en-dessous) expliquant tous ces hauts-faits.

La visite du palais vaut le détour, j’y consacrerai un autre article.

Sortant de là nous sommes retournés vers le centre pour trouver un petit resto. Le bon plan est de trouver l’établissement avec une file d’attente : restauration rapide, pas chère, typique et de qualité. Nous avons donc commencé par un basique coréen, le kimchi. Merveilleusement bon mais très épicé. Il me fallait au moins l’initiation à la cuisine indienne de ma belle-mère pour apprécier le repas (merci Sylvie).

Petite balade digestive le long de la rivière Cheonggyecheon avant d’aller jusqu’à la gare routière. Nous reviendrons à Séoul pour la fin du voyage. Nous partons donc le lendemain pour Andong, à l’est du pays. C’est suite à l’achat de ces billets que nous avons eu une petite mésaventure qui a bien failli nous coûter le voyage tout entier. Affaire à suivre dans un autre article.

Après cette frayeur, nous nous sommes autorisés une petite bière pour décompresser… pas coréennes du tout en revanche.

Et pour finir, petites brochettes en ville trouvées au premier étal du coin et nouvelle visite nocturne de notre quartier. Encore une fois, beaucoup de lumières et beaucoup de monde. Les boutiques ferment tard, parfois après 23h-minuit, et je ne sais pas ce qu’il en est des restaurants. Séoul est décidément une capitale très vivante.

Notre ressenti par rapport aux Coréens

Notre ressenti par rapport aux Coréens

De ce qu’on a pu constater, les Coréens sont extrêmement gentils et serviables. La devise est d’être le pays du sourire ! Euh j’en parle des femmes qui cachent le leur quand il devient trop expressif ? À part ça, il est vrai qu’ils ne s’offusquent pas qu’on leur demande notre direction. Ils seront plutôt gênés en fait… car beaucoup ne parlent pas anglais et des fois ne le comprennent pas non plus. Bon autant avec le premier cas on arrive à se faire comprendre. Le second en revanche pose plus de problèmes. On remercie quand même les applis de traduction. Ils en ont tous un sur leur portable (du coup nous aussi) et on passe facilement de l’anglais au hangeul (l’écriture coréenne) et inversement. Ils veulent toujours aider et vous ne resterez pas dans la panade. Il n’y a que des solutions.

Ce sont des travailleurs et ils ont même une légende pour ça. Un roi ayant l’habitude de recevoir ses sujets chaque jour aurait renvoyé un ministre qui aurait supposé de n’ouvrir le palais que 2-3 fois la semaine. Quel feignasse !

Dans le genre sympa, ils adorent quand on essaye de parler leur langue. Ils ont cette petite moue qu’on peut avoir quand un enfant se trompe (ça reste adorable) ou cette tête de “j’espère avoir compris”. Oui parce qu’entre ce qui est écrit, la prononciation et la rapidité du verbe c’est pas toujours évident. D’ailleurs Séoul, prononcez “Soul” comme l’âme en anglais.

Le plus drôle ça reste quand William fait un high five avec un policier qui passait par là ! Va chercher à comprendre, il n’y a qu’à lui que ça arrive. Il s’avère après conversation que la soeur du flic étudie à Lyon. Ah comme le monde est petit !

Journal de séjour #2 – Séoul, première impression

Journal de séjour #2 – Séoul, première impression

Les vols se sont bien passés mais nous ne sommes pas mécontents d’arriver. Reste encore à se faire tamponner le passeport. Pas besoin de visa pour un séjour de moins de 90 jours donc ça devrait passer tout seul. Sauf que…

Dans l’avion on vous donne un petit papier pour avancer les démarches douanières. Une seule case manquante et c’est le drame. Nous, c’était l’adresse. Nous n’avions pas trouvé de couchsurfing avant de partir et comptions prendre la première auberge de jeunesse venue. Ce que la douanière n’a pas eu l’air d’apprécier. À la place on a dû prouver qu’on repartait bien du pays. On dit merci au billet d’avion pour la Chine et aussi à la bonne volonté de la douane coréenne qui n’a pas voulu faire d’histoire. Nous penserons donc à toujours prévoir une adresse à l’arrivée. On n’aura pas toujours un billet d’avion pour nous sauver.

Récupérer nos sacs n’a pas posé de problème. Puis il faut passer la zone de déclaration. Là encore, un petit papier donné à l’aéroport ça aide. Les couteaux notamment sont à surveiller. Pour un peu, on pouvait dire adieu à l’opinel et au couteau suisse. La longueur des lames ne les a pas disqualifiés heureusement. Pour les pommes en revanche… oui, nous voyagions avec 2 pommes françaises et ça ne passe pas. Mangez 5 fruits et légumes par jour qu’ils disent !

Enfin nous sortons ! On trouve les guichets pour les tickets de bus et, même si les machines sont assez bien faites pour réserver en anglais, nous préférons ce bon vieux contact humain, au cas où… Pas de soucis pour la destination, nous avions eu un aperçu de Séoul et d’un coin pleins d’auberges. Bus 6002 voie 5B, bien indiqués, et le personnel prend en charge les valises en échange d’un ticket. Sophistiqué le système mais tellement efficace ! Nous voilà en route pour Séoul !

Il fait nuit, nous ne profitons pas trop du paysage. En même temps c’est une autoroute donc pas trop dépaysés. Certaines marques sont même en français (une crème de jour “L’escargot”, je vous laisse imaginer la composition). Arrivés à notre arrêt, c’est le chauffeur qui annonce bien haut la station (faut juste faire avec la prononciation) et qui récupère les bagages dans la soute.

Là voilà la métropole coréenne ! Route ultralarge (4 voies), des lumières partout, des enseignes aux noms bizarres (“Tous les jours”, « Paris baguettes »), une foule comme en plein jour de fête (il est juste 22h).

On se balade un peu mais ne trouvons pas les fameuses auberges de jeunesse. Petite recherche sur Internet (Séoul wifi, oui le wifi de la ville, ça n’a plus marché les autres jours) et hop on trouve une chambre proprette et pas trop chère pour Séoul : 120 000 won pour 2 nuits, chambre double et douche privative. Bon ok, divise par 100 (erratum : par 1000, merci Maëva) et t’as une idée du prix en euros.

Petite lessive avant de se poser (à l’ancienne, savon de marseille et lavabo) et au lit ! Première impression encourageante. On est assez aidés pour se repérer à Séoul. On y perd peut-être un peu pour le côté dépaysement mais pour une première immersion c’est mieux quand même. Il est 18h en France quand on va se coucher.

 

Planning et itinéraire

Planning et itinéraire

Voici donc notre itinéraire prévisionnel. Selon les pays, nous serons amenés à traverser d’autres frontières, comme ça, pour le fun, parce que c’est possible en fait. Attendons-nous à des modifications ou des surprises (nous l’espérons en tout cas) !

Si vous tombez sur cette page alors que vous recherchez des infos sur un pays particulier… ben nous n’y sommes pas encore allés ><. Un peu de patience…

Départ de Paris le 1er mai 2017

  • Corée du Sud du 2 au 21 mai 2017
  • Chine du 21 mai au 12 juin 2017
  • Vietnam du 12 juin au 2 juillet 2017
  • Cambodge du 2 au 23 juillet 2017
  • Thaïlande du 23 juillet au 13 août 2017
  • Malaisie du 14 août au 03 septembre 2017
  • Nouvelle-Zélande du 04 au 12 septembre 2017
  • Tahiti du 11 au 26 septembre 2017
  • Île de Pâques du 26 au 30 septembre 2017
  • Chili du 30 septembre au 15 octobre 2017
  • Pérou du 16 octobre au 5 novembre 2017
  • Équateur du 6 au 27 novembre 2017
  • Costa Rica du 28 novembre au 8 décembre 2017
  • Nicaragua du 9 au 15 décembre 2017
  • Honduras du 16 au 22 décembre 2017
  • Guatemala du 23 au 30 décembre 2017
  • Belize du 31 décembre 2017 au 7 janvier 2018
  • Mexique du 8 au 28 janvier 2018
  • Bonus : Miami du 28 au 29 janvier 2018

Voici une petite carte éditée un peu rapidement. Les tracés correspondent aux vols en avion (j’avais voté pour le dirigeable…), le reste sera terrestre (pied, bus, train, chevaux et licorne).