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Catégorie : Amérique Centrale

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Journal de séjour #216 : Tortuguero, suite et fin de l’aventure

Journal de séjour #216 : Tortuguero, suite et fin de l’aventure

Malgré une chambre confortable, la nuit s’est traduite par des réveils causés par la forte pluie. Seul réconfort, on entend les cris des singes non loin. On n’y échappe pas et pourtant c’est à 4h du matin qu’on se lève et qu’on part attendre notre guide autour de 5h pour la balade en bateau sur la lagune de Tortuguero. On sort alors sous une pluie lourde, on a l’impression qu’on va assister à une inondation mais l’hôtel est aménagé en conséquence. Heureusement qu’on ne porte pas de chaussures, ces dernières auraient été inondées. Ce sont alors nos tongs qui nous accompagnent et le strict minimum : short/t-shirt pas plus. On met en plus une protection, Delphine a sa veste, moi ma cape jaune poussin. Nous patientons autour d’un petit café à l’abri au point de rendez-vous avec d’autres touristes qui attendent eux aussi leur tour.

L’heure passe et notre guide ne pointe pas son nez. Nous patientons encore un peu, au moment où un autre guide arrive et me tend son téléphone. C’est Kevin à l’autre bout du fil, il nous annonce que vue la situation la balade en bateau n’est pas du tout recommandée, du coup nous devons reporter à 8h. Donc on ne fera que la balade en bateau, on n’aura pas le temps pour la balade à pieds. Sur ce, on retourne dans notre chambre, on prend aussi le temps de prendre le petit-déjeuner, puis on retourne à 8h au point d’embarcation.

La promenade se fait en compagnie d’un autre couple, on peut alors voir pleins d’oiseaux et d’animaux (iguanes, singes, etc.)

On rentre au cœur de la jungle où l’eau est noire à cause d’un liquide rejeté par un arbre, mais les reflets que donne le paysage sur l’eau sont bluffants.

On retourne à l’hôtel, malgré un beau temps pendant notre tour, le mauvais temps menace à nouveau. Le reste de la mâtinée on le passera tranquillou à l’hôtel. On ne pourra pas profiter de la belle piscine, de plus Delphine se fait piquer par je ne sais quoi qui la lance terriblement sur la jambe. Sur le coup on pense à une Bullet Ant, donc une fourmi dont la douleur de la piqûre est semblable à une balle d’un pistolet. Mais Delphine me dit que si c’est ça la douleur ben c’est pas si méchant que ça 🙂 Finalement, on voit avec l’hôtel qui nous rassure très vite (il n’y a pas de bête dangereuse dans le coin) mais on nous conseille de mettre un peu de glace pour alléger la douleur.

Un dernier buffet avec nos nouveaux membres du groupe.

Puis on reprend la route pour le retour vers San José. On embarque dans le bateau et miracle sur le ponton on voit une petite tortue !!! Qu’est-ce qu’elle fait là cette pitchoune ? C’est avec un sourire et les yeux pleins de joie qu’on reprend la route.

On aperçoit aussi un singe !

Une fois le bus repris, on s’arrêtera dans un coin pour une pause café, avec un appareil typique du Costa Rica. On pourra aussi voir un paresseux en train de dormir.

Quelle journée! Malgré la pluie à répétition cette virée à Tortuguero est mémorable !

Journal de séjour #215 : Départ pour Tortuguero

Journal de séjour #215 : Départ pour Tortuguero

Aujourd’hui le lever se fait à 5h pour un départ à 6h. Tortuguero se trouve sur la côte, au bort de l’Atlantique, et il faut bien partir tôt pour arriver en début d’après-midi. Primero, on rassemble nos affaires. Nous n’avions pris que deux nuits sur San José mais nous ne partirons qu’avec un sac à dos. Le but est de laisser nos affaires à l’hôtel et d’y revenir le lendemain car nous passons la nuit sur Tortuguero. Après avoir fait le check-out et mis nos affaires en sûreté, le mini bus vient à temps pour nous chercher. Pour une fois ce sont nous les plus jeunes, on prend le temps du trajet pour dormir un peu.

Arrivés dans la région de Limon, on s’arrête à un restaurant prendre le petit-déjeuner. C’est quasiment la même chose que la veille.

On prend le temps d’observer les petites grenouilles rouges à l’entrée du restaurant. Ces dernières coassent au même rythme que les clefs stimulées par un serveur pour amuser la galerie. Elle sont trop choupies, ces jolies bêtes sont inoffensives. Sauf si bien sûr vous avez une plaie ouverte. Dans ce cas elles vous paralysent le membre en question. Mignonnes hein ?

On reprend notre route à travers la région de Limon, une belle végétation arbore cette partie du pays. Le climat pluvieux améliore la production de bananes et de papayes.

On croise même un petit paresseux en train de dormir sur un arbre au bord de la route. On a la chance d’en voir un aussi près.

Photo sans zoom !

On arrive même à en voir un se déplacer le long des fils électriques. Il se déplace tellement vite que je pense avoir trouvé Flash (Zootopie) !

 

Petite vidéo de son déplacement rapide !

Après avoir passé une route pleine de trous et longue de 16 km (surnommée la “Massage Road” par notre guide) on arrive enfin au point d’embarquement. On quitte alors notre bus et on saute dans le bateau. Mais avant, ayant vu le mauvais temps se profiler, j’en profite pour me prendre une cape antipluie bien plus efficace qu’un manteau. Je pourrais protéger le sac avec.

On saute dans le bateau et on part pour une longue balade à travers cette jungle dense et peuplée d’oiseaux en tout genre, accompagnés d’un temps indécis entre grosse pluie et soleil radieux. Une région du pays reconnue pour ce temps et on comprend alors la signification du mot “Rain Forest”.

Arrivés à la lagune de Tortuguero on profite encore un peu du magnifique paysage avant d’arriver à l’hôtel.

Ce sont des petites chauves-souris, elles sont mimi à faire leur petit dodo.

Chose que nous ne savions pas, dans notre groupe nous étions les seuls à passer la nuit sur place. Les autres membres ont pris un tour pour la journée. Du coup arrivés à l’hôtel nous sommes les seuls à descendre. On souhaite le bon voyage aux autres membres du groupe et on rejoint notre guide Kevin qui nous sert deux verres de jus de fruit. Ça commence bien ! Ce dernier nous invite à nous installer dans nos chambres et nous donne juste deux horaires à garder en tête. L’heure du repas (buffet à volonté) et l’heure du prochain départ pour le tour dans l’après-midi pour la visite de la ville de Tortuguero.

On se rend alors à notre chambre, un petit panneau ne pas nourrir les singes me fait marrer. Imaginez de voir un singe près de l’hôtel. On rentre dans la chambre, une vraie surprise ! Elle est grande et belle, la salle de bain est de bon standing ! Ils ont dû se casser la tête à transporter tous les éléments nécessaires à la construction.

En tout cas, à la fenêtre nous pouvons effectivement apercevoir un petit singe. Le panneau ne nous avait pas menti (les panneaux mentent rarement). Sur ce, on part au restaurant, le buffet est bien au rendez-vous et c’est trop trop bon !  Du coup obligé de reprendre de la viande 🙁 elle est dure notre vie.

Après avoir bien mangé, on se rend au point d’embarquement où là encore un panneau attire mon attention. Après avoir demandé à notre guide si le danger était vraiment possible, il m’a répondu qu’ils n’ont pas eu de soucis à ce niveau et que les caïmans ne viennent pas “chasser” dans le coin. C’est juste que si on nage dans une zone où le reptile garde ses œufs, ben la maman va protéger ses petits. Enfin bon après ce petit détail technique, on embarque sur un petit bateau direction le village de Tortuguero.

Arrivés au village, ce dernier se fait très timide vue la période basse. Le guide nous fait juste un petit tour pour nous montrer les coins importants de l’île, comme l’école, le centre de tri, les poubelles bizarres et nous laisse au bord de la plage coté Pacifique en nous disant « je vous laisse une heure et demie au village puis on repart à l’hôtel ». Cette plage est très importante. C’est ici que viennent nicher les tortues marines. La période étant maintenant terminée, nous ne pourrons pas assister au spectacle de la ponte…

Du coup, on se baladera encore au village en faisant une petite session boutique. Puis on croise un jeune homme dans la rue qui sculpte des petites tortues sur des coques de fruit (style amande). On le voit faire avec une scie à métaux et il nous raconte en même temps son idée de faire ce type de sculpture. Son talent nous marque et on décide d’acheter la petit tortue (meilleur souvenir qu’on puisse avoir). Alors je vous le dis, si jamais vous allez sur Tortuguero, allez voir ce jeune homme qui s’appelle Mauricio ! Il mérite plus de reconnaissance !

Il nous reste alors une petite heure avant de retrouver Kevin à l’embarcadère. On décide de se poser dans un restaurant afin de nous soulager (toilette et boisson ^^) après ça on repart prendre le bateau.

Le reste de la soirée pas grand chose à raconter. Malheureusement la pluie était très forte en soirée, obligés de se barricader dans la chambre et sortir juste pour manger. De plus on doit se coucher tôt, nous avons rendez-vous à 5h40.

 

 

Journal de séjour #214 : le parc Manuel Antonio

Journal de séjour #214 : le parc Manuel Antonio

Pour un premier jour au Costa Rica on commence fort. Réveil à 5h pour un départ à 5h45 ! Manque de pot, on ne pourra pas profiter du petit-déjeuner inclus… On récupère nos affaires toutes propres et on attend patiemment notre bus. Ce dernier arrive à l’heure et étant les premiers, nous devons faire le tour de la ville afin de récupérer les autres passagers avant de quitter la ville de San José. Vers 7h le bus est enfin au complet et on peut enfin nous diriger vers le Parc Manuel Antonio.

Vers 8h30, on arrive à un restaurant pour prendre le petit-déjeuner. Le restaurant est très beau et grand. Il offre une grande ouverture sur un jardin où on peut voir pleins d’iguanes de toute taille.

Après ce petit repas bien frugal, le guide nous dit qu’il va nous récupérer de l’autre côté du pont des crocodiles. On se rend alors au pont et effectivement il porte bien son nom. Il y a pleins de reptiles sous le pont. Imaginez un saut à l’élastique d’ici !

On prend ensuite le bus en direction d’une petite boutique pour profiter des sanitaires. Mais perso on en profite pour voir les souvenirs ! Non ce n’est pas du tout un arrêt commercial !

On arrive enfin au parc Manuel Antonio. On y fera alors un tour et nous découvrons rapidement des paresseux, des singes à face blanche. On nous raconte alors qu’il y a 4 types de singes : les singes écureuil, des singes araignée, des singes hurleurs et des singes à face blanc (les capucins).

 

Certains guides sont vraiment bien équipés (nous n’avons pas eu cette chance…)

Cette boule, c’est un paresseux 🙂

Vous voyez les deux iguanes ?

Puis on arrive près d’une plage. On nous propose de faire une baignade ou une balade dans le long du littoral. Avec ce sale temps pluvieux, on préfère rester sur la plage à voir les singes, les coatis et les ratons laveur.

On assiste même à un petit drame. Une maman raton laveur passe devant nous avec ses deux bébés mais l’un d’eux se perd et ne voit plus sa mère. Du coup on voit le petit crier pour appeler sa maman, on veut l’aider mais on ne peut pas. C’est un coup où la mère peut nous attaquer. Mais très vite la mère retrouve son petit, pauvre bébé…

On prend le temps de parler avec un Américain qui est dans notre groupe et ce dernier a une petite particularité il voyage toutes les deux semaines dans le monde. Aujourd’hui il est au Costa Rica, dans une semaine il retourne aux USA et deux semaines après il part en Asie. En gros deux semaines aux USA et deux semaines dans un autre pays. Le monsieur a pas mal de sous, du coup il en profite. Mais le truc le plus fou c’est que quand il parle d’un pays il dit facilement en quelle année il l’a visité et son nombre. Par exemple, la France il l’a visitée en 2013 et c’est le 85e pays. Enfin bref, un palmarès impressionnant et on est loin d’en faire autant.

Nous avons rdv près du bus vers 15h. Ayant 2h devant nous, on en profite pour se balader malgré la pluie. On trouve un bâtiment en bois, on monte mais on ne voit pas grand chose…

Le raton laveur qui tente de voler dans les sacs.

Puis on fait une petite balade mais la pluie nous oblige à repartir.

On sort enfin du parc, on retrouve notre guide près d’un bar. On en profite pour prendre une bière et papoter avec les autres membres du groupe.

Ensuite on part vers le restaurant, on mange très bien avec un petit verre de vin blanc !

On arrive même à apercevoir des toucans !!!

Pour finir, on reprend le bus et on retourne à San José. On y arrive assez tard, on se fait un petit fast-food et on dort assez tôt. Demain on doit partir tôt pour Tortugera.

Journal de séjour #213 : De Quito à San José via… Miami ?

Journal de séjour #213 : De Quito à San José via… Miami ?

La beauté de l’aviation c’est de nous faire passer par Miami pour un trajet Quito (Équateur) – San José (Costa Rica). Cela implique notamment de faire la demande de l’Esta, le “visa » américain. Même si nous ne faisons que changer d’avion ! Bref, nous l’avions fait avant de partir donc pas de soucis de ce côté. Nous devions partir à 00h58. Pour je ne sais quelle raison, nous ne partirons qu’à 1h40. Normalement ça ne devrait pas trop impacter notre changement, nous avons 5h30 d’attente entre les deux avions à Miami. C’est un petit avion avec 3 places de chaque côté du couloir. Le placement fait que nous sommes dans la même rangée mais pas côte à côte. Nous demandons un peu partout qui serait suffisamment aimable pour échanger de place. Ça impliquerait de passer au milieu d’une rangée de trois. L’une accepte seulement si celle du siège proche couloir se décale au milieu. Besoin de place pour son genou qui lui fait mal… Nous nous tournons vers l’intéressée qui refuse catégoriquement. Elle est claustrophobe, elle a besoin du couloir. La première tente quand même de changer d’allée avec un steward mais apparemment il faut payer pour ça. Tant pis, Will et moi abandonnons. Au final tout ce beau monde s’endort et nous nous réveillons à l’atterrissage à 6h.
La nuit n’a pas été particulièrement agréable mais nous devons être d’aplomb pour la douane américaine, réputée pour son zèle. Nous descendons de l’avion et intégrons la première file d’attente. Il y a beaucoup de monde qui attend. Nous arrivons alors non pas à un guichet mais à une borne. Nous enregistrons nos passeports nous-mêmes, empreintes digitales comprises, et une petite feuille s’imprime. Selon les informations du feuillet nous sommes redirigés vers une longue file d’attente… qui nous entraîne à un guichet. Rebelote pour la vérification d’identité, feuillet à l’appui, les empreintes digitales aussi. À quoi a servi l’étape précédente ? Pas la moindre idée. Vérification de notre bonne foi peut-être. Nous nous attendions à un interrogatoire quelconque mais non. Un coup de tampon et “welcome to the United States of America !”. Dixit un panneau, c’est même pas l’agent qui nous accueille. Nous récupérons nos valises et arrivons au niveau de la douane. Ça me fait un peu peur, on a ramené des cacahuètes de l’Équateur (c’était un cadeau de dernière minute de la part de nos hôtes…). C’est à peine si le douanier regarde notre feuille. Il est au téléphone, il faut le comprendre. Nous nous retrouvons un peu ahuris dans le terminal. Ça a été facile en fait. Même Will est passé comme une lettre à La Poste. Nous verrons pour la sortie du territoire.
Donc nous avons passé une heure pour les contrôles. Ce qui n’est pas si long au final. Nous nous attendions vraiment à pire. Nous sommes au terminal 4, nous devons aller au terminal 3. Nous nous renseignons pour la navette. Une dame nous montre la direction. En fait nous arrivons directement au terminal 3, 100m plus loin quoi. Nous montons au niveau des enregistrements. Autre particularité de notre vol, nous devons nous réenregistrer. Ça n’est pas un transit classique où tout est pris en charge et il n’y a qu’à passer par la sécurité avant de réembarquer. Là nous avons récupéré les valises et retournons à l’enregistrement avec pesée, etc.
Apparemment il faut passer par une borne automatique. Là où ça coince c’est que nous n’avons pas de vol retour. Un agent nous remarque et nous explique que dans notre cas nous devons passer par les comptoirs. Nous nous y rendons et faisons l’enregistrement de façon classique. Nous allons ensuite vers les portes d’embarquement.

Le premier contrôle est assez risible. On y vérifie juste le temps passé sur le territoire. Pour le scanner, il faut juste sortir la nourriture des sacs, en plus des objets habituels. Nous passons tous par le scanner intégral testé en Australie. Nous récupérons tout sans souci et pouvons nous rendre au hall d’embarquement. Nous nous arrêtons à une sandwicherie au passage et prenons le petit-déjeuner. Il est 9h, nous ne décollons qu’à 11h. Encore un peu de patience.

Dans l’avion nous ne sommes pas côte à côte une fois de plus, mais l’un derrière l’autre. Nous retentons de faire bouger les gens mais sans succès. Je somnolerai pendant tout le vol. Je me réveille juste à temps pour récupérer des chips auprès de l’hôtesse. 3h après et 1h de décalage horaire en moins nous atterrissons à San José. Nous devons encore passer l’immigration. Ça nous prend énormément de temps, beaucoup de personnes sont présentes. Pour la peine nous mangeons un sandwich dans la file d’attente. Nous y arrivons au bout de 2h.

Nous récupérons les valises et allons vers la douane. J’ai un peu peur car nous avons coché à peu près toutes les cases de la fiche : nourriture, produits détaxés, médicaments et nous avons été dans des endroits naturels ou des élevages il n’y a pas longtemps. Nos sacs sont passés au scanner, comme tout le monde, et basta ! Pour être sûrs que tout va bien, nous voulons expliquer ce que nous avons coché mais on nous dit qu’il n’y a pas de soucis et que nous pouvons passer. Ok !
Nous trouvons le chauffeur de notre auberge et nous filons vers le centre-ville. Avec les bouchons nous perdons encore un peu de temps. Nous arrivons enfin et pouvons apprécier le confort de notre chambre. L’employée qui s’occupe des tours est Française. Ça va nous faciliter la tache. Nous passons la fin d’après-midi à préparer notre séjour au Costa Rica. Nous ne sortirons que pour aller retirer des sous, il nous reste un sandwich pour le repas du soir. Ce qui est drôle c’est que pour accéder aux caisses automatiques il faut scanner la carte bleue. La porte s’ouvre alors sur le sas. Sympa comme sécurité.

Planning et itinéraire

Planning et itinéraire

Voici donc notre itinéraire prévisionnel. Selon les pays, nous serons amenés à traverser d’autres frontières, comme ça, pour le fun, parce que c’est possible en fait. Attendons-nous à des modifications ou des surprises (nous l’espérons en tout cas) !

Si vous tombez sur cette page alors que vous recherchez des infos sur un pays particulier… ben nous n’y sommes pas encore allés ><. Un peu de patience…

Départ de Paris le 1er mai 2017

  • Corée du Sud du 2 au 21 mai 2017
  • Chine du 21 mai au 12 juin 2017
  • Vietnam du 12 juin au 2 juillet 2017
  • Cambodge du 2 au 23 juillet 2017
  • Thaïlande du 23 juillet au 13 août 2017
  • Malaisie du 14 août au 03 septembre 2017
  • Nouvelle-Zélande du 04 au 12 septembre 2017
  • Tahiti du 11 au 26 septembre 2017
  • Île de Pâques du 26 au 30 septembre 2017
  • Chili du 30 septembre au 15 octobre 2017
  • Pérou du 16 octobre au 5 novembre 2017
  • Équateur du 6 au 27 novembre 2017
  • Costa Rica du 28 novembre au 8 décembre 2017
  • Nicaragua du 9 au 15 décembre 2017
  • Honduras du 16 au 22 décembre 2017
  • Guatemala du 23 au 30 décembre 2017
  • Belize du 31 décembre 2017 au 7 janvier 2018
  • Mexique du 8 au 28 janvier 2018
  • Bonus : Miami du 28 au 29 janvier 2018

Voici une petite carte éditée un peu rapidement. Les tracés correspondent aux vols en avion (j’avais voté pour le dirigeable…), le reste sera terrestre (pied, bus, train, chevaux et licorne).